Live Report

SHINING BRIGHTLY ~END OF PERIOD ~TOUR : Tôkyô dome

06/08/2002 2002-08-06 12:00:00 JaME Auteur : MA'J

SHINING BRIGHTLY ~END OF PERIOD ~TOUR : Tôkyô dome

LUNA SEA, SHINING BRIGHTLY ~END OF PERIOD ~TOUR : Tôkyô dome,

Comme la veille, les fans sont rassemblés autour du Tôkyô Dôme. J’en profite cette fois pour approcher les stands de goods. Vous pouvez acheter T-Shirt, sac, doudoune au nom de Luna Sea. C’est-y pas chouette la vie ! Pour la petite histoire je suis totalement aphone (Qui a dit, ça nous fait des vacances ?). Risato qui a froid me propose d’aller boire un café. Au rez-de-chaussée d’un immeuble adjacent à la salle de concert, nous rencontrons toutes les deux une dizaine de fans de Luna Sea en train de peaufiner leur cosplay. Elles sont estomaquées quand Risato leur explique que je suis venue de France pour voir le groupe et que je suis fan (et c’est peu de le dire,) de J. Chacun veut sa photo. Et c’est une charmante jeune fille qui passait par là qui fera le photographe. Elle installe donc devant elle la douzaine d’appareil photos, et clic, et clac, la séance photo commence. Avant de sortir, l’une des fans pour me remercier m’offre une fleur en tissu qu’elle confectionne elle-même. J’étais très émue et ravie de voir comme les fans de Luna sea forment une grande famille.

Puis, Risato m’abandonne, ce qui me permet de faire le tour du Tôkyô Dôme. Cette fois, je suis installée dans les gradins. Assez près tout de même du côté de ce cher Suzi-chan. Comme je le disais plus haut, la solidarité entre les fans est magique. Tout le monde autour de moi (rien que des japonais, je rêve) me sourit. On se passe des papiers du fan-club (que je ne comprends pas).

Après 40 min de retard, la salle s’éteint. Risato arrive, enfin. Et moi, je suis prête pour mon deuxième spectacle. De plus loin et de plus haut aussi, j’ai une vue d’ensemble du spectacle que je n’avais pas précédemment montée uniquement sur mes petits pieds. Je suis fascinée par les effets spéciaux (qui hélas ne se voient pas du tout sur la vidéo). Pas de grand changement, excepté la superbe No pain, rehaussé d’une clip anti-militariste (ce qui va m’aider quelques mois plus tard pour essayer de traduire cette chanson).

Dans les gradins hélas, il est difficile de sauter sans écraser les pieds de son voisin (ce qui est arrivé plusieurs fois à ma copine Risato) mais l’ambiance est géante. Dommage, je n’ai plus de voix du tout. Il faut dire que la veille j’ai tellement hurler le nom de J, que j’ai du percer les tympans de mes voisins de devant et de ce fait ma voix est au repos.

Nos cinq amis semblent un peu fatigués. Je suis tellement fascinée que j’en ai même oublié d’avoir entendu I for you (Et si…) Quand arrive Up to you un sentiment bizarre m’étreint. C’est la fin ! Le rêve est fini ! Je peux mourir ! Je comprends aujourd’hui tout ceux et celles qui pleurent à la fin des lives. Mais comme je suis une grande fille j’ai attendu d’être dans mon lit pour le faire.
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