Tout dabord comme toutes les productions du groupe, jadore ce premier mini-album, de qualité, original et donnant envie de se dandiner sur sa chaise de bureau devant ses collègues effrayés.
UNKNOWN débute par une chanson semi instrumentale, il ny a pas vraiment de chant, dans Nano Music, juste Sharaku parlant à travers un modulateur de voix (un petit appareil qui fait une voix synthétique). La chanson est agréable à écouter, reposante même, le calme avant la tempête ?
On enchaîne ensuite avec Keisei Movement, une mélodie un peu plus rythmée que la précédente. On retrouve la voix de Sharaku, aigue, poussée et tellement marante. Le refrain me fait un peu penser à Utena (cherchez pas ce quil se passe dans ma tête, tous les spécialistes ont renoncé !). La mélodie reste banale mais le refrain lui donne beaucoup de charme.
Avec la troisième piste de ce mini-album, la tempête se déchaîne (et ne venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus !). Rythme plus rapide, guitares plus agressives, Sekai wa minna boku no teki revient sur un style plus "metronomesque". Au milieu de la chanson, tous les membres nous annoncent quils sont "daikirai" (si quelquun a la traduction
) avant que Sharaku ne reparte dans son monologue de fou, hurlé, suivi dun passage en voix de tête. Jaime cette différence de ton ! Encore une chanson qui sécoute en boucle et qui donne envie de headbanger.
Vient Boku to kimi no koe sato aida, qui débute par une intro de la même veine que Nano music. Une voix digitale reste présente tout au long de la chanson, Sharaku ne force pas sur sa voix et garde une voix grave. Le débit des japonais métonnera toujours et lui ne fait pas exception. Mais comment peuvent-il parler et chanter, aussi vite ? Cette chanson est malgré sa qualité celle que jaime le moins dans lalbum.
Ko wo suteyo, machi ni deyou nous rend la voix si particulière de Sharaku. Là encore une mélodie agréable quon pourra facilement suivre en dansant ou en se trémoussant, cest au choix. La chanson est ponctuée de « Oh Yeay ! », je ne veux pas connaître les détails de la vie personnelle du groupe, mais, Oh Yeay ! *je sors*
*se fait ramener par les cheveux*
Ah oui jai pas fini...
Mais Oh Yeay !
Hum !
Ma chanson préférée du single, Yukisaki wa hidari, alterne mélodies hyper dynamiques, rythmées, bourrines, électroniques et passages calmes que Sharaku chante avec une voix très douce. La chanson parfaite pour headbanger en dansant un slow ! *tripote son oreillette* On me fait savoir que ce nest pas possible, trop dangereux paraît-il. Rah... Mais faut séloigner de son cavalier quand on headbangue, mais cest possible. Pour en revenir à la chanson, dès la première écoute du mini-album, je lai adorée. Je trouve les transitions, totalement absente, entre passage brusque et passage slow magnifique. Elle ma donnée envie de la chanter (Oui, je sais il ne faut pas que je chante, préservons le beau temps actuel, ou naggravons pas le mauvais temps présent). Des que je lécoute, jai envie de me lever et de danser !
La chanson suivante est Ki ga kurui sou na toki ni kuchi zusamu uta , cet intermède de quelques secondes, nous emmène tout dabord au bord dun cour deau calme, paisible, relaxant
Cétait sans compter sur Sharaku qui nous pique une crise juste avant de passer a la chanson suivante
Suit GOOD DAY, une mélodie enjouée, pour passer une bonne journée, simple à chanter et extrêmement plaisante. Le groupe nous montre quil est bilingue, ou presque, avec de magnifique « One, two, three, four ! ».
Le mini-album se termine avec UNKNOWN. Sa courte intro pourrait nous faire croire à une mélodie douce et calme, mais qui enchaîne vite sur un réveil plutôt brusque de guitares. Salternent alors passage de guitares, chant plus doux et refrain mélangeant les deux précédents, le tout dans un crescendo sarrêtant brusquement pour un petit intermède planant. Et on y retourne !
Pour faire simple, ce mini-album est une petite merveille !