Le groupe féminin suga/es se produira pour la première fois à l'étranger sur la scène de Japan Expo dans quelques jours à peine. A cette occasion, les quatre musiciennes ont pris le temps de répondre à nos questions sur l'univers de la formation et ses projets.
Bonjour suga/es ! Comme il s’agit de votre première interview avec JaME, pourriez-vous vous présenter et nous en dire un peu plus sur la signification du nom de votre groupe ? Qui en a eu l’idée ?
suga/es : Aux premiers abords, nous avons l’air douces, mais notre musique et notre personnalité sont plutôt amères. C’est de là que vient notre nom, suga/es étant emprunté à l’anglais sugarless (sans sucre, en français).
Comment vous êtes-vous rencontrées ?
suga/les : Nous appartenons à la même agence. Nous aimions la musique, et nous souhaitions monter un groupe ensemble.
Lorsque vous composez vos morceaux, le fait de vous démarquer des autres groupes féminins est-il important pour vous ? Ou créez-vous la musique qui vous plait en faisant fi des similarités qui pourraient exister avec ceux-ci ?
suga/es : Nous créons et jouons ce qui nous fait envie, dans le but d’exprimer la musique de filles qui « semblent douces mais sont, en réalité, amères », ainsi que le suggère le nom de notre groupe.
Quel a été votre plus grand défi à ce jour ?
suga/les : La composition de notre tout premier morceau up-tempo.
L’an dernier, vous avez publié le clip de 616 avec ses paroles. Quelle a été votre inspiration pour cette chanson ?
suga/es : Les paroles ont été écrites par Mayo et Noa, tandis que l’instrumental a été composé par une personne tierce.
Vous avez sorti plusieurs clips dans le cadre de l’initiative Youtube « Music Foundry ». Pourriez-vous nous en dire plus sur cette expérience ?
suga/es : C’est tout simplement YouTube qui nous a sélectionnées pour faire partie de ce projet.
L’un des morceaux paru à l'occasion du « Music Foundry » de YouTube est intitulé Today never ends Acoustic Ver. Quel est le message de cette chanson ? Pourriez-vous nous parler de son processus de création ?
sug/es : Noa a écrit les paroles et la musique a été composée par des personnes tierces. Le message de cette chanson est que « nous allons travailler plus dur ».
Avez-vous le projet de sortir un CD physique ou en numérique sur une plateforme de téléchargement légale telle qu’iTunes ? Que pouvez-nous révéler à ce sujet ?
suga/es : Rien de particulier.
Que pensez-vous à l’idée de vous produire à Japan Expo ?
suga/es : Il s’agit de notre premier déplacement à l’étranger en tant que groupe. Nous sommes nerveuses, mais nous allons montrer au public français que nous sommes « douces en apparence mais, en réalité, amères ».
Quels sont vos projets à court et long terme ?
suga/es : Des prestations solo réussies.
Pour conclure notre interview, pourriez-vous laisser un messages à nos lecteurs ?
suga/es : Nous allons faire des auditeurs français les « prisonniers de suga/es ».
JaME souhaite remercier suga/es pour avoir rendu cette interview possible.